Participants SCL : Baptiste, Christophe, Erin, Linda, Manu, Max
Participants initiés : Armande, Erin (K), Loïc, Noëlle
Cavités
Samedi: Cavottes (10h30 – 17h30)
Dimanche: Ordons (11h – 13h30)
Bon bouchons sur l’A6
3 voitures.
Première voiture avec Baptiste, Linda et Noëlle, départ a 16h, font les courses au Leclerc de Villabé et arrive au gîte a 22h.
Deuxième voiture avec Loïc, Erin K., Erin H. et Maxime. Loïc recupère les deux Erin à la gare de Massy vers 18h30 puis passe chercher Maxime à Wissous a 19h. Départ par L’A6 puis nous rejoignons rapidement l’A5 puisque googleMap nous prédit un temps de trajet plus court.
Escale rapide pour manger juste après Troyes, arrivé au gîte un peu avant minuit.
Troisième voiture avec Armande, Christophe et Manu, Armande passe chercher Christophe et Manu chez Christophe (vers 19h30 ?), circulation difficile, arrivé au gîte vers (2 heure du mat ?).
Les occupants de la première voiture arrivent les premiers et repèrent les dortoirs qui nous sont assignés, remplissent le frigo et préparent les kits de cordes pour la sortie du lendemain.
La partie du gîte qu’on a n’est pas la mieux (cuisine au fond derrière les douches, et chambre à l’entrée à gauche, bruyante)
Après l’arrivée de la 2ème voiture Baptiste, assisté de Maxime, fait une démo du matériel aux initiés présents. On en profite également pour prendre une petite bière bien fraiche.
Lorsque la 3ème voiture arrive nous partons rapidement nous coucher.
Samedi, les Cavottes
Pli (a non levée pardon) le samedi a 8h30.
Après le petit déjeuner, Linda, Manu et Maxime préparent les sandwich pendant que Christophe mélange exprès les équipements prêtés par le CDS et ceux du club pour préparer les équipement des initiés, afin qu’on ait du mal à les séparer à nouveau après la sortie. Les autres observent (expectatifs pour les nouveaux, dubitatifs pour les autres).
Départ pour les Cavottes vers 10h, en passant par l’épicerie pour acheter des spaghettis (petit oubli lors des courses). Linda a bien proposé pendant le petit déjeuner de faire du riz à la carbonara mais l’idée n’enchante ni Baptiste ni Maxime. Pour une sortie Cavottes-Ordons, on aurait aussi pu faire Carottes-Lardons, mais on s’en tiendra aux spaghettis.
Entrée aux Cavottes a 10h30.
Tout le monde rampe joyeusement dans le tunnel de départ.
Après la salle du Chaos, et la petite vire sympathique, Armande apprécie particulièrement l’ étroiture qui suit, et Erin (K) a le sourire un peu crispé à la descente du P20, mais le sourire tout de même.
Noëlle et Loïc, sans doute habitués aux sports de grimpe, ne sont pas plus impressionnés que cela, mais s’amusent bien quand-même.
Après le P20, seul Baptiste ressort de la boite aux lettres malgré l’eau versée par Christophe pour lui savonner la planche. D’aucuns diront que c’est grâce à sa taille adéquate, mais ce ne sont que des jaloux. S’ensuivent de vains essais de Loïc, Maxime et Erin. Quelqu’un d’autre ? Manu? non?
Après cet épisode comique tant attendu, la remontée se déroule sans problème, puis la sortie (oui, tout le monde a bien été sorti de la boîte aux lettres, on a compté), et nous atteignons le gîte à 18h sonnantes.
Comme il est tôt, nous en profitons pour laver une partie du matériel, qui ne doit pas resservir le lendemain.
Puis, l’apéro bien mérité est dégusté pendant la préparation de spaghettis à la carbonara (avec des spaghettis, donc).
Comme la soirée ne fait que commencer, on s’autorise une partie d’ascenseur qui est donc un jeu de cartes avec des levées (enfin des plis quoi) et des atouts, couronné par une victoire de Maxime (la chance du débutant), puis deux parties de “Time’s up”, perdues toutes deux par l’équipe de Manu (la malchance du débutant?). Le groupe est déjà en osmose puisque qu’on trouve 4 Mickael Jackson et 2 Napoléons lors de la 2ème partie. Ou alors on est complètement abrutis, et on ne connaît que deux personnages célèbres.
Dimanche, les Ordons
Levé a 8h30 et entrée dans la grotte à 11 heures. Allez savoir ce qu’on a fait entre les deux.
Le nouveau casque de Max (une affaire…) permet de bien éclairer les plafonds et les murs pendant la progression. Loïc fait les frais de la blague de la salle du lustre au bout de la cavité.
Le puits a été équipé en double pour accélérer la remontée, ce qui permet une petite course entre Baptiste et Maxime (dont le rédacteur final de ce compte-rendu taira le vainqueur).
Et le nettoyage
De retour au gîte à 14h, c’est le grand lavage de cordes dans les baignoires extérieures du gîte, prévues à cet effet. C’est fou ce qu’on peut remonter de boue, tout de même.
Le matériel CDS n’étant pas bien marqué, et le nôtre non plus, c’est donc un casse-tête de tout remettre en place, et curieusement, Christophe se désintéresse de l’affaire après une intervention prometteuse.
Au menu du midi à 16h, patates et excellentes saucisses de Morteau.
Départ du gîte vers 17 heures, avec un petit arret de Baptiste et Maxime pour payer le gîte.
L’arrivée à Paris ou sa banlieue se fait entre 21h30 et 22h30 selon les groupes, ce qui est loin d’être une catastrophe.